Bonjour à tous,
Je me demandais quels sont les impacts concrets de la dysgraphie sur le quotidien d'un enfant. Au-delà de l'écriture difficile, est-ce que cela affecte aussi d'autres aspects de leur apprentissage ou de leur vie sociale ? J'aimerais bien comprendre les difficultés qu'ils rencontrent et comment on peut les aider au mieux.
Je voulais vous donner un petit retour. On a mis en place certaines choses, notamment en insistant sur ce qu'il aime faire pour regagner confiance. C'est pas miraculeux, mais je vois une petite amélioration. Merci encore pour vos conseils !
En fait, WonderWomanSoigneuse, ce que je voulais dire, c'est que je me demandais si la dysgraphie pouvait impacter des trucs comme... je sais pas, le dessin, ou même des jeux de construction, des activités qui demandent quand même une certaine motricité fine. Et aussi, est-ce que ça peut jouer sur la manière dont il range ses affaires, s'organise pour faire ses devoirs... Des trucs comme ça, quoi.
Je suis pas complètement d'accord avec l'idée que la dysgraphie *est souvent associée* à des difficultés de motricité fine. C'est peut-être vrai dans certains cas, mais je pense qu'il faut faire attention à ne pas généraliser. Mon expérience, c'est que c'est plus lié à la coordination et à la planification du geste qu'à la motricité fine en elle-même. On peut très bien avoir des enfants dysgraphiques qui sont habiles de leurs mains pour d'autres activités.